( 346 ) •Л Laiton.................. » (1 + 0,0015991) Bronze d’aluminium...... » (1 0,0010201 ־+־) Maillechort. ........... » (1 ־4׳ o,ooo3561) Mercure.............. » (1 4-0,000882 £-b 0,000001 !40 ¿2). » MÉMOIRES PRÉSENTÉS. CHIMIE INDUSTRIELLE. — Sur la trempe du verre, et en particulier sur les larmes bataviques; Note de M. V. de‘ Luynes'. (Commissaires : MM. Dumas, Élie de Beaumont, Ch. Sainte-Claire Deville, Fremy, Jamin.) « La rupture qui se produit; dans les larmes bataviques, au moment où Ton en brise la queue, a été attribuée jusqu’à présent à l’état de dilatation forcée de la masse intérieure. On admet que la couche extérieure, brusquement solidifiée par le refroidissement, au moment où les parties intérieures sont chaudes et fortement dilatées¿ force ces dernières, auxquelles elle reste adhérente, à conserver un volume plus grand que celui auquel elles se seraient réduites si toute la larme s’était refroidie lentement. De là un état d’équilibre instable, qui n’est maintenu que, par la résistance des couches extérieures ; de sorte que, si l’on détruit cette résistance parla rupture de la queue ou d’une autre partie de la larme, l’état d’équilibre cesse et la rupture a lieu. » Les expériences dont j’ai l’honneur de présenter les résultats à l’Académie semblent prouver, au contraire, que les effets produits par les larmes bataviques sont dus principalement à l’état particulier des couches extérieures, et que les couches intérieures ne jouent aucun rôle ou ne jouent qu’un rôle secondaire dans le phénomène. )> Les actions mécaniques, au moyen desquelles on brise ordinairement les larmes bataviques, produisent nécessairement dans le verre des vibrations dont il est impossible d’apprqcier l’effet. C’est pourquoi, dans cette étude, je me suis servi surtout de l’acide fluorhydrique, dont on peut modérer l’action à son gré et qui permet de détruire à volonté et sans secousse la partie de la larme que l’on veut attaquer. t » En suspendant une larme par un fil, au-dessus d’un vase en platine plein d’acide fluorhydrique, de manière que l’extrémité de la queue plonge dans le liquide, on constate qu’on peut toujours dissoudre touté la queue sans détruire la larme. Mais lorsque l’acide touche l’origine du col, c’est-à-dire le point de divergence de la poire, !’équilibre est toujours rompu;