( 3ao j en solides analogues à l’une des deux figures ci-jointes, qui représentent le parallélépipède primitif pint, dont l’angle de droite i est remplacé par la troncature i{: Le clivage suivant m est le plus facile à obtenir ; suivant p, il s’obtient un peu moins facilement, et suivant encore moins facilement. Suivant £, au lieu d’un véritable clivage, il pourrait bien n’exister que des plans de séparation facile, car on remarque souvent sur p et sur V des fissures inégalement espacées, parallèles à l’intersection de ces faces avec £, et le choc découvre des surfaces luisantes analogues à celles qui constituent l’enveloppe habituelle des cristaux non clivés. » L’éclat vitreux, très-prononcé sur m et sur p, l’est un peu moins sur P; quant à t, son éclat est légèrement nacré et quelquefois un peu opalescent, ‘ par suite d’un commencement de kaolinisation qui ne se manifeste que dans sa direction et sur un certain nombre d’échantillons. » Aucune des surfaces produites par les clivages dont il vient d’être question n’est assez unie pour se prêter à des mesures d’angles très-exactes; aussi n’est־ce qu’en prenant la moyenne d’observations répétées sur de nombreux fragments que je me suis arrêté aux données suivantes, à l’aide desquelles ont été déterminées les dimensions du parallélépipède obliquangle fondamental : *mt = i5i°4'; *pm = io5°44i '*pt = 9502o';* *ixm=z g6°i5'; *!1f = 990i4'; pix = 152° 57' (calculé), 152° 10'(observé) ; b : c : h : : 1000 : i o34 ? o r 3 : 454 ? 9^5. Angle plan de la base...... .......... i52°29' 12", Angle plan de m.» ........... 71°56' 22׳', Angle plan de t......... ............. 1 ! 3° 12' 24״; D = g87,832; dz=z 242,40b. Sauf l’angle pm = io5044'5 très-voisin de son correspondant = io5° »