( 280 ) temps T 2 =־dt״T'= E _ XD /v'\»-2 ë׳ — vd7V'v/ (C). » La discussion de cette relation conduit aux observations suivantes : » Lorsque les vitesses V, V׳ sont égales, on a E _ AD T XD Ë?~:X׳D'’ T' VD' comme on l’a démontré directement. » si p = c’est-à-dire si les projectiles sont semblables, on a E __ RD /V'\"2־ TT ________ RD m- Ë׳ = R'D׳ \V )’ T׳ “ R'D׳ \ V / » Si en même temps V = Y', on a RD E RD R'D׳ E׳ R'D׳ comme dans le cas des projectiles sphériques. » Lorsque XD = X'D', on a 2־־־» y1 Y / T 9 on a E Y \ 72—2 » Lorsque ^ E' “ 1 ’ ï׳ V׳ ’ pour le tir dans l’air n = 3, et les formules sont alors très-simplifiées. » physique. — Note sur le magnétisme ; par M. Th. du Moncel. a En lisant la Note si intéressante de M. Jamin, insérée dans 1 e Compte rendu du i3 janvier dernier, je n’ai pu me défendre d’un certain sentiment de satisfaction, en voyant que les idées que j’avais émises, il y a une quinzaine d’années, sur le magnétisme condensé, avaient été enfin sanctionnées par un maître de la science. Comme les expériences qui m’avaient conduit à la constatation de ce phénomène peuvent, en raison du caractère de nouveauté que leur ont donné les travaux de M. Jamin, présenter un certain intérêt scientifique, je demande à l’Académie la permission de les ré-