( m ) OU dv=l^dt, en observant que P _ ttR2DX, donne pour le rapport des pertes de vitesses dv, dvde deux projectiles P, P׳, après des intervalles de temps dt', (2) 'i — 2IL ÎX.)n^i ■׳ ~ viy \v׳/ dv_ d? » Le rapport de ces pertes de vitesses et, par conséquent, celui des vitesses restantes Y — dv, V׳— dd, sera égal à celui des vitesses primitives V, Y׳, si les intervalles de temps dt, satisfont à la condition suivante, imposée par l’énoncé : (3) XD /y'Y~* VD7\y) ־ dt dt’ * Pendant les intervalles de temps suivants¿*,, ^,^,... proportionnels à dt et à dt',les pertes de vitesse .. seront toujours proportionnelles à V, V׳. On aura donc, après des intervalles T — Xdt, 12 = ׳,dt', qui satisfont à la relation XD /Y\n-' X׳D׳ 2. T׳ (A) pour le rapport des pertes de vitesse, 2 du 2dd et pour celui des vitesses restantes V — Y'— (B) V_ V׳' » Les espaces élémentaires dx, dx', parcourus pendant les intervalles de temps dt,dt', seront dans le rapport Y dt Y de' ~ V'YD׳ \T ) VXD /V״\׳-< dx XD /y'\2-״ X׳D׳ dx dx' d’où (4) » Pendant les instants suivants, proportionnels à dt et on aurait encore des espaces élémentaires dx,, ¿ùc׳,,... proportionnels dx\ On aura donc, pour les trajets E = 2dxE correspondant aux ״36