( i3a ) » Cette valeur de 4 mise dans la première équation, divisée d’abord par x4, et écrite ainsi, b J- -I- C ) - H- (fJ-2 +^+^3 = 0׳ ,-1 X j’ .r la transforme en une équation du quatrième degré en yt dont les racines déterminent les quatre points communs aux deux courbes. exy -\- fx ef +/׳ SI : o, V. ax3 + bx2y 4- cxy2 4- dx2 bxy 4- cf1 4- dx ax* où Ton a b2 — 4 ac2 — o. » N = 6. Les deux courbes ont un point commun à l’infini, dans la direction de la droite y — — ~x; elles sont tangentes en ce point à la droite de l’infini, et ont entre elles un contact du troisième ordre ; donc g¿ =4 et N — co =2׳■.. Ainsi les courbes ont deux points communs à distance finie. Et, en effet, ces points sont accusés par l’équation (/־־־/’) æ ־+־ S7 — °> qu’on tire des deux proposées. » Y', x3 4- 9.x2y 4- xj2 — x2 —* 4xj. — 2x — 3j = o, °3 4“ 2X2 y 4־ x y2 — X2 — 4 XJ — 3x — . J “ O, X" » N = g — 1 = 8. Ces deux courbes sont tangentes, à la droite de Fin-fini, au point situé dans la direction y = x, et ont en ce point un contact du troisième ordre. En outre, elles sont tangentes à l’axe Oj au point de l’infini; on a donc w = 4 + 1 = 5 et N = 8— 5 = 3. Ainsi les deux courbes ont trois points communs à distance finie. L’un de ces points est à l’origine des coordonnées, les deux autres sont sur la droite 2y — 5x = o. )> Observation. — On facilite les calculs relatifs à des contacts d’ordre supérieur en des points de l’infini, en les ramenant à des contacts de même ordre à des distances finies, par une transformation homographique. Les formules les plus simples sont celles-ci : j 1 = ^ et x: X ’7־ = / X — —1 y par lesquelles la droite de l’infini devient un des axes coordonnés, »