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taux capables d assimiler, et j’ai la confiance que mes recherches personnelles ont contribue à ce résultat. En conséquence, il est inadmissible que le rang qu occupe une plante dans la classification, le climat, la température, !exposition, le sol, exercent sur la composition de ce pigment la moindre influence. J’ajouterai, en terminant, qu’il me semble superflu de constater par 1 examen spectroscopique « les altérations éprouvées par les végétaux poussant dans le voisinage des émanations acides des grandes usines de produits chimiques, et de préciser pour ainsi dire le cercle d action de ces dernières ». Il suffit de savoir que, là ou la chlorophylle éprouvera la moindre altération, l’assimilation cessera, et avec elle toute végétation. »
GÉOLOGIE COMPARÉE. — Exercices des actions mécaniques dans l’astre, aujourd'hui détruit, d'où dérivent les météorites; Note de M.-Stan. Meunier, présentée par M. Daubrée.
« La substance de diverses météorites présente des traces de phénomènes mécaniques, déjà signalées à maintes reprises. Au point de vue dé la Géologie comparée, il y a tout intérêt à rechercher si ces traces existent indistinctement sur tous les types de roches cosmiques, ou si, par leur localisation sur certains d’entre eux, elles ne peuvent pas spécifier en quelque façon le régime géologique dé ces types:
>) Parmi les holosidères, nous devons rapporter à des étirements le long de failles la déformation que présentent en divers points les figures de Widmarinstætten de plusietirs fers. On va voir que la comparaison dé cette déformation avec les faits présentés par les pierres donne beaucoup de vraisemblance à cette sdppdsition. Parmi les masses où le fait en question peut être observé¿ il faut citer l’échantillon dufer météorique de Caille, en-registré dans les catalogues du Muséum sous le signe 2.Q.336.
o) On retrouve de très־bellès surfaces de glissement chez certains sjssi-dëres, et spécialement dans le fer d’Atacama (2.Q.407) dont l’origine filo-niennè a été l’objet d’une précédente Communication (1).
» Mais c’est surtout parmi les sporadosidères-oligosidères que ces accidents sont fréquents; c’est là aussi que leur étude est particulièrement instructive, et je vais ÿ revenir dans ûn moment.
» Cette fréquence contraste avec !,absence de toute trace d’action méca-
(1) Comptes rendus, t. LXXV, p. 588.
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