( 84 ) sont les équations des directions principales, on aura dR ryi™ — , im -f- mi; = /, dB d H mm 11' = a A et ce résultat, étant indépendant des dérivées du troisième ordre, subsiste alors même que la famille (u) ne fait pas partie d'un système orthogonal. » Par suite, en remplaçant dans R ABC par (X — .r)2,..., ce qui donné ... .= o, on aura l’équation des deux plans principaux d’une surface quelconque. » Dans sa dernière Communication, M. Cavley a mis l’équation du troisième ordre sous une forme du plus haut intérêt. On peut obtenir le même résultat de la manière suivante. Posons V2 = u? y on aura, en tenant compte d’une formule déjà donnée, : o. dxdy +־ (vxwr+ vrwx)■ (*) (7) *A (ÿ)H׳.״״°־(v) = v*w*-)¿r J’omets la démonstration de ce résultat, qui équivaut d’ailleurs à l’une des formules de Lamé dm _ 1 dH dH, 1 dH dH2 âpiôp2 H! dpi dp2 II2 dpi dpi Il suit de là que l’équation différentielle cherchée peut aussi se mettre sous la forme ■(*) d2 dx2 dj2 dz2 dydz dxdz dxdy I i I 0 0 0 *V Uf Uz2 llyZ UXy = 0. 7lUx 0 O O ' uz Uy O 2Uy O Uz 0 ux O 0 2UZ Uy tyx O; mule de M. Cayley. On vérifie d’une manière immédiate (8) l’equation est satisfaite par le système des surfaces parallèles pour lequel V = const. ;