( 68 ) n° 2, quand cette distance est réduite à ! millimètre. Si l’on sépare les deux appareils par une simple feuille de papier (ou par de millimétré), on a la courbe n° 3 sur l’aimant, et le contact est sensiblement à l’état naturel en tous ses points. Quand les surfaces adhèrent, les deux courbes n° 4 montrent que les deux lames sont chargées d’un même magnétisme et qu’il en reste très-peu. F¡(;. '• ' vii!• 2־ )) Le tableau suivant traduit cette figure en nombres. 0 23 30 100 200 300 » » )» » » » —63,0 — 17,5 —6,,6 —2,0 0 0 —!4,2 — 1,0 0 0 0 0 + 0,0 + 0,2 -+o, 3 +־o, 0 » » -f- 2,5 + 3,0 +5,2 +3,5 +2,2 +i,7 400 300 200 100 50 23 0 5,5 8,7 17,4 41,2 6l ,2 76,1 116,0 5,2 8,1 *7>4 40,1 65,5 85,2 i4o,o 5,3 7,2 10,9 17,2 24,5 32,0 64,o 5,3 7,2 10, i ! 3,5 16,0 l6,5 !5,4 5,2 7>2 9-8 12,0 11,2 8,5 4,0 Désignation des points. Aimantât, normale. Contact à 27mm... » à i » zéro. » Dans la deuxième figure, on a représenté par les lignes n° 1 et n° 2 le magnétisme primitif, et celui qui reste après !’application d’un contact. Ce