BIBLIA POLYGLOTT A, Epistola Jacobi, I. II. VERSIO GALLICA. VERSIO GERMANICA. EP1TRE DE S. PAUL AUX HEBREUX, XIII. 18 Priez pour nous ; car nous sommes as- surés que nous avons une bonne conscience, désirant de nous bien conduire en toutes choses. ״ , 19 Et je vous prie avec d autant plus d in- stance de le faire, afin que je vous sois plutôt rendu. . ,, , 20 Le Dieu de paix, qui a ramene d entre les morts le grand Pasteur des brebis, notre Seigneur Jésus-Christ, par le sang de l’alliance éternelle, 21 Vous rende accomplis en toutes sortes de bonnes œuvres, pour faire-sa volonté, faisant lui-même en vous ce qui lui est agréable, par Jésus-Christ, auquel soit gloire aux siècles des siècles. Amen. 22 Au reste, mes frères, je vous prie de prendre en bonne part ces paroles d’exhortation ; car je vous ai écrit en peu de mots. 23 Vous savez que notre frère Timothée est délivré ; s’il vient bientôt, je vous irai voir avec lui. 24 Saluez tous vos conducteurs, et tous les Saints. Ceux d’Italie vous saluent. 25 La grâce soit avec vous tous, Amen. Ecrite d'Italie aux Hébreux, et portée par Timothée. mieux affermir son cœur par la grâce que par les viandes, qui n’ont servi de rien à ceux qui s’y sont attachés. 10 Mous avons un autel, duquel ceux qui servent au tabernacle, n’ont pas le pouvoir de manger. . , . 11 Les corps des animaux, dont le sang est porté dans le sanctuaire par le souverain sacrificateur, pour l'expiation du péché, sont brûlés hors du camp. 12 C’est aussi pour cela que Jésus, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte. 13 Sortons donc hors du camp, pour aller à iui, en portant son opprobre. . ״ 14 Car nous n’avons point ici de cite per: manente; mais nous cherchons celle qui est à venir. , . , _. 15 Offrons donc par lui sans cesse a Dieu un sacrifice de louange, c’est-à-dire, le fruit des lèvres qui confessent son nom. 16 N’oubliez pas aussi d’exercer la chanté, et de faire part de vos biens ; car Dieu prend plaisir à de tels sacrifices. 17 Obéissez à vos conducteurs et soyez leur soumis, car ils veillent pour vos âmes, comme devant en rendre compte, afin que ce qu’ils font, ils le fassent avec joie et non en gémissant; car cela ne vous seroit pas EPITRE CATHOLIQUE DE S. JACQUES APOTRE. tenté: C’est Dieu qui me tente ; car comme Dieu ne peut être tenté par aucun mal, aussi ne tente-t-il personne. 14 Mais chacun est tenté quand il.est attiré et amorcé par sa propre convoitise. 15 Et après que la convoitise a conçu, elle enfante le péché ; et le péché étant consommé, engendre la mort. 16 Mes frères bien-aimés, ne vous abusez point : 17 Toute grâce excellente et tout don parfait, vient d’en-haut, et descend du Père des lumières, en qui il n’y a point de variation, ni aucune ombre de changement. 18 II nous a engendrés de sa pure volonté par la parole de la vérité, afin que nous fussions comme les prémices de ses créatures. 19 Ainsi, mes frères bien-aimés, que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler, et lent à se mettre en colère ; 20 Car la colère de l’homme n’accomplit, point la justice de Dieu. £1 C’est pourquoi, rejetant toute ordure et tous les excès de la malice, recevez avec douceur la parole qui est plantée au dedans de vous, et qui peut sauver vos âmes. 22 Mettez en pratique la parole, et ne vous contentez pas de l’écouter, en vous séduisant vous-mêmes par de faux raison-nemens. 23 Car, si quelqu’un écouté la parole, et ne la met point en pratique, il est semblable à un homme qui regarderoit dans un miroir son visage naturel; 24 Et qui, après s’être regardé, s’en iroit, et oublieroit aussitôt quel il étoit. 25 Mais celui qui aura considéré avec at tention la loi parfaite, qui est celle de la r CIIAP. I. . JACQUES, serviteur de Dieu et du Seigneur-Christ, aux douze tribus qui sont dispersées, salut ! 2 Mes frères, regardez comme le sujet d’une parfaite joie les diverses afflictions qui vous arrivent, . 3 Sachant que l’épreuve de votre foi produit la patience. , , 4 Mais il faut que l’ouvrage de la patience soit parfait, afin que vous soyez parfaits et accomplis, en sorte qu’il ne vous manque rien. , , , 5 Que si quelqu un de vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu, qui la donne à tous libéralement,.sans rien reprocher ; et elle lui sera donnée. . 6 Mais qu’il la demande avec foi, sans hésiter ; car celui qui hésite, est semblable au îlot de la mer qui est agite et pousse ça et là par le vent. , . , a 7 Que cet homme-la ne s attende pas à recevoir aucune chose du Seigneur. 8 L’homme dont le cœur est partage, est inconstant en toutes ses voies. 9 Que le frère qui est dans la bassesse, se glorifie dans son élévation. 10 Que le riche, au contraire, s humilie dans sa bassesse, car il passera comme la fleur de l’herbe. ״׳ .״. . 11 Car, comme un soleil brûlant étant levé, l’herbe sèche, sa fleur tombe, et son éclat périt ; ainsi le riche se flétrira dans ses entreprises. . 12 Heureux est l’homme qui endure la tentation ; car quand il aura été éprouve, il recevra la couronne de vie que le Seigneur à promise à ceux qui l’aiment. 13 Que personne ne dise, lors qu il est 165 Sie (Spijîel ©t. 3aco6i. п!ф1 ein Später/ 1er ifi д1о!'ф einem Ш?оппе, ber fein ШЬИфез ^Ingefidjt im Spiegel ЬсГфаиеЕ 24 Senn пафЬет er [¡ф tefct;auet fat, öt£>ct er son ©tunb ап öaoon, unb nergtjfet; rcie er gejlal« tet rcajr, 25 Жег aber ЬигфГфаие1 in bas oollfommene @e? fei¿ ber grepfjeit/ unb tarinnen beharret, unb i)I шфп ein cergef Ифег £örer, fonbern ein Skater: berfelbige wirb felig fepn in feiner £fat, 26 ©0 aber Щ jemanb unter еиф lajfet bünfen, et biene ©ott, unb [)ält feine gunge пгф1 im gaure, fonbern mfüfaet fein ©er!/ bep ©otteebien!! 91 eitel. 27 Gin reiner unb unbefledter ©ctteebienji t>cr @ott bem ©ater ijt ber: SieSBaifen unb ■iöitreen in itjrer Srübfal Ье|ифеп, unb |Тф t>on ber «Seit unbefleit bemalten. £>aö 2 Kapitel. Qieben »rüber, Galtet niefa bafür, ba£ ber ©laube ^ an Scfum fiajri|]um, unfern £errn ber £егфф־ leit, Einfettung ber Werfen leibe. 2 g)enn fo in eure »erfammlung farne ein !Wann mit einem golbenen {Ringe, unb mit einem ()еггАфеп bleibe; eö leime aber аиф ein Eimer in einem un־ faubern Kteibe; 3 Unb ibr fabet auf ben, ber bas феггПфе Kleib trägt, unb Гргафе! ¡n ibm: ©e£e ba biф ber aufs befte; unb fp^;et ¿u bem Firmen : ©tefa bu bert, ober fe£e Ь!׳ф ber ju meinen $üjfen; 4 Unb bebeniet es п(ф1 геф!, fonbern ibt wertet S^ter, unb тпафе! böfen 1ШегГф:еЬ. 5 £)öret ju, meine lieben »rüber, [!at тф1©си ermäblet bie Elrmen auf biefer ftßelt, bie am ©lau* ben ге:ф flnb, unb Grben beS Dieiф^, гсе1феб er mfaifien bot benen, bie ibn lieb haben 1 6 3br aber habt bem Elrmen Uneljre getfan. ©inb nül)t bie £Ке!фег bie, bie ©ercalt an üben, unb jieben еиф oor ©епфг? 7 »erlällern jle п{ф1 ben guten tarnen, bauen ibr genannt fepb 1 8 ©0 ibr baS ЕсшдИфе ©efefj uollenbet паф ber ©Ф«^: Siebe beinen ШфЦеп als bi* felbit ; fo tfat ibr icobl. 9 ©0 ibr aber bie фегГоп anfeljet, tbut ibr ©Um־ be; unb roerbet gejiraft uom ®efefa als bte lieber־ treter. 10 £enn fo jemanb baS ganje ©efetj balt, unb fünbiget an Ginem, ber ifb ganj Гфи1Ыд. 11 Senn ber ba gefagt bat: g)u follfi п1ф1 cbe־ Ьгефеп, ber bat аиф gejagt: £u follfi шф1 lebten. ©0 bu nun tti$t еЬеЬг1фjl/ tcbtetl aber, biil bu ein Uetertreter beS ©efe^eS. 12 «lifo rebet, unb alfo'tfat, als bie ba füllen Ьигф¿ ©efelj ber gretfait gerietet werben. 13 Gs rcirb aber ein unbarmberjiges ©еп'фЧ über ben geben, ber nitfa »агт^ег;iqfeit getban bat; unb bie »armberjigfeit rühmet ff* rciber bas ©епф1. 14 ©Jas hilft«, lieben »rüber, fo jemanb fagt, er habe ben ©lauten, unb bat Ьоф bie Söerfe тф1? Kann аиф ber ©laube ihn felig тафеп ? 15 ©о aber ein »ruber ober ©фгсе!1ег blop märe, unb Mangel hätte ber tägigen Sia&rung, 16 Unb jemanb unter еиф Гргйфе ju ihnen: ©ott beratlje еиф, wärmet еиф, uni fättiget еиф ; gäbe 25aS 1 Kapitel. CVacobuS, ein Knecht ©ottes unb beS ^errn^efu O £t)rifH, ben ¿rcötf ©ef4)ted;tern, bie ba flnb bm unb her, $reube juuor. 2 Wieine lieben »rüber, achtet eS eitet ftteube, rcenn ihr in mancberlep Einfettungen fallet, 3 Unb rcijfet, bafj euer ©laube, fo er rettftaffen ijl, ©ebulb rcirfet. 4 S)ie ©ebulb aber foll uefl bleiben bi« an« Gnbe, auf bap ihr fepb uollfommen unbgan!,unb leinen Mangel habt. 5 ©0 aber jemanb unter euüb SBeiebeit mangelt, ber bitte non ©ott, ber ba giefct einfältiglidh jeber־ mann, unb rüdets niemanb auf, fo rcirb |Te tbm gegeben merben. 6 Gr bitte aber im ©tauben, unb ¿rceipe nidht; benn rcer ba jrceifelt, ber ifi gleit rcie bie ffReereS-rcoge, bie nom 'Ab’tnbe getrieben unb geroebet rcirb. 7 ©oldher SOlenft benfe nidht, bap er etrcaS oon bem ^>errn empfangen rcerbe. 8 Gin grceiper ijl unbeftänbig in allen feinen EBegen. 9 Gin »ruber aber, ber niebrig ip, rühme fit feiner #öbe; 10 Unb ber ba reit ift/ rühme fit feiner Slie־ brigleit; benn rcie eine »lume bes ©rafes rcirb er uergetjen. 11 Sie ©onne gehet auf mit ber £ifa, unb baS ©ras uerrcelfet, unb bie »lume fällt ab, unb feine ftbne ©ejiall nerbirbt; alfo rcirb ber 9ieite in feiner £abe oerrcelfen. 12 ©elig iff ber ffHann, ber bie Einfettung er־ bulbet ; benn natbem er bercähret iji, rcirb er bie Krone beS liebend empfangen, rcelte ©ott uerheif« fen hat benen, bie ihn lieb haben. 13 CRiemanb fage, rcenn er oerfutt rcirb, bap er oon ©ott oerfutt rcerbe; benn ©ott ifi nicht ein »erfuter ¿um »Öfen; er oerfutt niemanb ; 14 ©onbern ein jegliter wirb oerfudjt, rcenn er non feiner eigenen gujl gereijet unb gelodet rcirb. 15 darnach, rcenn bie Bujl empfangen bat, ge* bieret fle bie ©ünbe; bie ©ünbe aber, rcenn jle pollenbet ifi, gebietet fle ben £ob. 16 Srrct nid;t, lieben »rüber. 17 Elite gute ©abe, unb alle nolllommene ©abe lommt non oben herab, non bem »ater beS Bitts, bep weitem i|l feine »eränberung, r.ot EBetfel beS iitts unb ber $inflernip. 18 Gr bat uns gejeuget nat feinem «Billen, burt baS SDort ber «Bafaöeit/ auf bap wir wären Grfl־ linge feiner Kreaturen. 19 S)arum, lieben »rüber, ein jegliter Sftenft fep ftnelt ju hören, langfam aber p reben, unb [angfam jum ^orn ; 20 £enn bes »lenften gern tbut nicht, was nor ©ott rett ifi. 21 Saturn fo [eget ab alle Unfauberfeit unb alle »osheit, unb nehmet baS Eöort an mit ©anftmutb, bas in eud; gepflanjet ifi, weites fann eure ©eelen felig maten. 22 ©epb aber Sbüter beS «Borts, unb nicht £¡5* rer allein, bamit ihr eut feljl betrüget. 23 £enn fo jemanb ifi ein £crer bcS SBorts, unb VERSIO׳ ITALIANA. VERSIO HISPANICA. EPISTOLA CATTOLICA EPISTOLA CATH0L1CA S. IACOBO APOSTOLO. DE SANTIAGO. oidores tan solamente, engañándoos á vosotros mismos. 23 Porque si alguno es oidor de la palabra, y no hacedor: este será comparado á un hombre, que contempla en un espejo su rostro nativo: . 24 Porque se consideró á sí mismo, y se íué; y luego se olvidó quál haya sido. 25 Mas el que contemplare en la Ley perfecta, que es de la libertad, y perseverare en ella, siendo no oidor olvidadizo, sino hacedor de obra: este será bienaventurado en su hecho. 26 Si alguno pues se tiene por religioso, y no refrena su lengua, sino que engaña su corazón, la religión de este es vana. 27 La religión pura y sin mancilla delante de Dios y Padre, es esta: Visitar los huérfanos, y las viudas en sus tribulaciones, y guardarse sin ser inficionado de este siglo. TT CAP. II. JnLERMANOS inios, no queráis poner la fe de la gloria de nuestro Señor Jesu-Christo en acepción de personas. 2 Porque si entrare en vuestro congreso algún varón, que tenga anillo de oro con vestidura preciosa, y entrare también un pobre con vestido humilde, 3 Y atendiendo al que viene vestido magníficamente, le dixereis: Tu siéntate aquí en este buen lugar: y dixereis al pobre; Estate tú allá en pie; ó siéntate aquí de-baxo del estrado de mis pies: 4 ¿No es cierto, que hacéis distinción dentro de vosotros mismos, y que sois jueces de pensamientos iniquos? 5 üid, hermanos mios muy amados, ¿ por ventura no ha elegido Dios á los pobres de este mundo, para ser ricos en fe y herederos del reyno, que prometió Dios a los que le aman i 6 Vosotros al contrario habéis afrentado al pobre. ¿ Dos ricos no os apremian con su poder, y os arrastran ellos mismos á los juzgados ? 7 ¿No blasfeman ellos el buen nombre, que ha sido invocado sobre vosotros ? 8 Si cumplís la Ley real conforme á las Escrituras: Amarás á tu próximo como á tí mismo: bien hacéis: 9 .Mas si teneis acepción de personas, cometéis pecado, siendo reprehendidos por la la Ley como transgresores. 10 Porque qualquiera, que hubiere guardado toda la Ley, y faltare en solo un punto, se ha hecho culpable de todo. • 11 Porque el que dixo: No cometerás adulterio, dixo también: No matarás. Y si matares, aunque no hayas cometido adulterio, eres tranagresor de la Ley. 12 Así hablad, y así haced, como que empezáis á ser juzgados por la Ley de libertad. 13 Porque se hará juicio sin misericordia, á aquel que no usó de misericordia: y la misericordia triunfa sobre el juicio. S CAPITULO I. Santiago, siervo de Dios, y de nuestro Señor Jesu-Christo, á las doce tribus que están en dipeision, salud. 2 Hermanos mios, tened por sumo gozo, quando fuereis euvueltos en diversas tribulaciones : 3 Sabiendo que la prueba de vuestra fé obra paciencia. 4 Mas la paciencia contiene obra perfecta, para que seáis perfectos y cabales, sin faltar en cosa alguna. 5 Y si alguno de vosotros tiene falta de sabiduría, demándela á Dios, que la da á todos copiosamente, y no zahiere: y le será concedida. 6 Pero pídala con fé, sin dudar en nada: porque el que duda es semejante á la ola de la mar, quando la mueve el viento, y la trahe acá y allá. 7 Y así no piense aquel hombre que recibirá cosa alguna del Señor. 8 El varón de ánimo doble, es inconstante en todos sus caminos. 9 El hermano que es humilde, préciese en su exaltación: 10 Y el rico en su humildad, porque él pasará como flor de yerba: 11 Porque salió el Sol con ardor, y secó la yerba, y cayó la flor de ella, y pereció su vistosa hermosura: así también el rico se marchitará en sus caminos. 12 Bienaventurado el varón, que sufre tentación: poique después que fuere probado, recibirá la corona tie vida, que Dios ha prometido á los que le aman. 13 Nadie diga, quaudo fuere tentado, que es tentado de Dios: porque Dios no intenta los males : y él no tienta á ninguno. 14 Mas cada uno es tentado, arrastrado, y halagado de su concupiscencia. 15 Y la concupiscencia después que ha concebido, pare pecado: y el pecado, quaudo es consumado, engendra muerte. 16 Pues no queráis errar, hermanos mios muy amados. 17 1 oda dádiva excelente, y todo don perfecto es de lo alto, que desciende del Padre de las lumbres, en el qual no hay mudanza ni sombra de variación. 18 Porque de su voluntad nos ha engendrado por palabra de verdad, para que seamos como primicias de sus criaturas. 19 Vosotros lo sabéis, hermanos mios muy amados. Por esto todo hombre sea pronto para oir: pero tardo para hablar, y tardo para avrarse. 20 Porque la ira del varón no obra la justicia de Dios. 21 Por tanto desechando toda inmundicia, y abundancia de malicia, recibid con mansedumbre la palabra, que ha sido ingerida en vosotros, y que puede salvar vuestras almas. 22 8ed pues hacedores de la palabra, y no 165 [ 23 rerciochè, se alcuno è uditor della ! parola, e non facitore, egli è simile ad un’ uomo die considera la sua natia faccia | in uno specchio. 24 Imperochè, dopo eh’ egli s’ è mirato, egli se ne va, e subito ha dimenticato quale egli fosse. 25 Ma chi avrà riguardato bene addentro nella Legge perfetta, eh’ è la Legge della libertà; e sarà perseverato; esso, non essendo uditor dimentichevole, ma facitor dell’ opera, sarà beato nel suo operare. 26 Se alcuno pare esser religioso fra voi, e non tiene a freno la sua lingua, anzi sodduce il cuor suo; la religion del tale è vana. 27 La religion pura, ed ìmmaculata appo Iddio, e Padre, è questa, Visitar gli orfani, e le vedove, nelle loro afflizioni; e conservarsi puro dal mondo. CAP. II. T RATELLI miei, non abbiate la fede della gloria di Gesù Cristo, Signor nostro, con riguardi alle qualità delie persone. 2 Perciochè, se nella vostra raunanza entra un uomo con P anel