BIBLIA POLYGLOTTA, Epistola I, ad Corinthios, YIII. VERSIO GALLICA. VERSIO GERMANICA. 1 CORINTHIENS. Vili. 29 Mais, voici ce que je dis, mesfrères ; c’est que le tems est court désormais. Que ceux qui ont une femme,soient comme s’ils n’en avoient point ; 30 Ceux qui pleurent, comme s’ils ne pleuroient point; ceux qui sont dans la joie, comme s’ils n’étoient point dans la joie ; ceux qui achètent, comme s’ils ne possédoient rien ; 31 Et ceux qui usent de ce monde, comme s’ils n’en usoient point; car la ligure de ce monde passe. 32 Or, je voudrois que vous fussiez sans inquiétude. Celui qui n’est pas marié, s’occupe des choses qui regardent le Seigneur, cherchant à plaire au Seigneur. 33 Mais celui qui est marié, s’occupe des choses du monde, cherchant à plaire à sa femme. 34 II y a cette différence entre la femme mariée et la vierge, que celle qui n’est pas mariée, s’occupe des choses qui regardent le Seigneur, pour être sainte de corps et d’esprit; mais celle qui estmariée, s’occupe des choses du monde, pour plaire à son mari. 35 Je vous dis ceci pour votre bien, et non pour vous tendre un piège, mais pour vous porter à ce qui est honnête et propre à vous attacher au service du Seigneur sans distraction. 36 Mais si quelqu’un croit qu’il ne soit pas honorable que sa tille passe la fleur de sou âge sans être mariée, et qu’il faille qu’elle le soit, il peut faire ce qu’il voudra, il ne pèche point; que les filles, dans ce cas, se marient. 37 Mais celui qui, n’étant contraint par aucune nécessité, et étant entièrement maître de faire ce qu’il voudra, a pris une ferme résolution en lui-même de garder sa fille, fait bien. 38 C’est pourquoi, celui qui marie sa fille, fait bien ; mais celui qui ne la marie pas, fait mieux. 39 La femme est liée avec son mari par la loi tout le tems qu’il est en vie ; mais si son mari meurt, elle est libre de se remarier a qui elle voudra, pourvu que ce soit selon le Seigneur. 40 Toutefois, elle sera plus heureuse, selon mon sentiment, si elle demeure comme elle est. Or, je crois que j’ai aussi l’Esprit de Dieu. A CIIAP. VIII. A L’EGARD des choses qui ont été sacrifiées aux idoles, nous savons que nous avons tous assez de connoissance là-dessus ; mais la connoissance enfle, au lieu que la charité édifie. 2 Et si quelqu’un présume de savoir quelque chose, il n’a encore rien connu comme il faut le connoître. 3 Mais si quelqu’un aime Dieu, Dieu est connu de lui. 4 Pour ce qui est donc de manger des choses sacrifiées aux idoles, nous savons qu’une idole n’est rien dans le monde, et qu’il n’y a qu’un seul Dieu. 5 Car, quoi qu’il y en ait, soit dans le ciel, soit sur la terre, qui sont appelés dieux, comme, en effet, il y a plusieurs dieux et plusieurs seigneurs ; 6 Toutefois, nous n’avons qu’un seul Dieu, qui est le Père, duquel procèdent toutes choses, et nous sommes pour lui ; et un seul Seigneur Jésus-Christ, par lequel sont toutes choses, et nous sommes par lui. 7 Mais tous n’ont pas cette connoissance; car quelques-uns, dans l’opinion qu’ils ont encore de l’idole, mangent une chose comme F 7 Car je voudrois que tous les hommes fussent comme moi ; mais chacun a reçu de Dieu son don particulier, l’un d’une manière, et l’autre d’une autre. • 8 Je dis donc à ceux qui ne sont point mariés, et aux veuves, qu’il leur est avantageux de demeurer comme moi. 9 Mais s’ils ne peuvent pas garder la continence, qu’ils se marient ; car il vaut mieux se marier que de brûler. 10 Quant à ceux qui sont mariés, ce que je leur ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, c’est que'la femme ne soit point séparée de son mari. 11 Et si elle en est séparée, qu’elle demeure sans semarier.ou qu’elle se réconcilie avec son mari, et que le mari de même ne quitte point sa femme. 12 Mais pour ce qui est des autres, ce n’est pas le Seigneur, mais c’est moi qui leur dis: Si quelque frère a une femme qui ne soit pas du nombre des fidèles,et qu’elle consente à demeurer avec lui, qu’il ne la quitte point. 13 Et si quelque femme a un mari qui ne soit pas du nombre des fidèles, et qu’il consente à demeurer avec elle, qu’elle ne le quitte point. ^ 14 Car le mari infidèle est sanctifié par la femme fidèle ; et la femme infidèle est sanctifiée parle mari fidele ; autrement,vos enfans seroient impurs, au lieu qu’ils sont saints. . 15 Que si l’infidèle se sépare, qu’il se sépare ; car le frère ou la sœur ne sont plus assujettis en ce cas ; mais Dieu nous a appelés à la paix. 16 Car, que sais-tu, femme, si tu ne sauveras point ton mari? Ou, que sais-tu, mari, si tu ne sauveras point ta femme? 17 Mais que chacun suive l’état que Dieu lui a donné en partage, et dans lequel le Seigneur l’a appelé. C’est là ce que j’ordonne dans toutes les Eglises. 18 Quelqu’un a-t*il été appelé à la foi étant circoncis: qu’il demeure circoncis. Quelqu’un a-t-il été appelé étant incirconcis : qu’il ne se fasse pas circoncire. 19 Être circoncis, n’est rien; être incirconcis, n’est rien non plus ; mais l’observation des commandements de Dieu est tout. 20 Que chacun demeure dans la vocation dans laquelle il a été appelé. 21 As-tu été appelé étant esclave : ne t’en fais point de peine ; mais aussi, si tu peux être mis en liberté, profites-en. 22 Car l’esclave qui est appelé par le Seigneur, est !’affranchi du Seigneur ; de même aussi, celui qui est appelé étant libre, est l’esclave de Christ. 23 Vous avez été achetés par prix: ne devenez point esclaves des hommes. 24 Mes frères, que chacun demeure devant Dieu dans l’état dans lequel il a été appelé. 25 Pour ce qui est des vierges, je n’ai point reçu de commandement du Seigneur; mais je vous donne un conseil, comme ayant eu part à la miséricorde du Seigneur, pour lui être fidèle. 26 J’estime donc qu’il est avantageux à chacun, à cause des afflictions présentes, de demeurer comme il est. 27 Es-tu lié avec une femme ? ne cherche point à t’en séparer. U ’es-tu pas lié avec une femme? ne cherche point de femme. 28 Si pourtant tu te maries, tu ne pèches point; et si une vierge se marie,elle ne pèche point. Mais ces personnes auront des afflictions dans la chair; or, je voudrois vous les épargner. 120 ipauli ©ulaÆten über 1 (Soïtntfy. 8. gebigbleiben unb #eçratben. 34 Sßeldje ni$t freoet/ bte forqet/ was bem.perrn angejwret; bajj jTe § eilig feg, bepbed am Seibe unb au$ am ©eiflc. S>te aber freuet/ Me forget; was ber 22elt angejjöret; wie fie tem SRanne gefalle. 35 eolcbeä aber fage icb .;u eurem 2Ru£en; ruijt bajj tc& euch einen 0trid׳ an benpalö werfe; fon-bern ba;u/ bajj eS fein ifi/ unb t&r jlets unb unge־ fjtnbert bem £)errn bienen fennet. 36 0ö aber jemanb fid) lägt bunten; eö wolle jld) niA;t finden mit feiner 3ungfrau;weil fte eben woijt mannbar ijl; unb e$ witl nicht anbers fetm; fo tjjue er; was er will; er fiinbiget nicht; er taffe fie freuen. 37 92enn einer aber ihm »efl uornimmt; weil er ungezwungen i)i; unb feinen freuen üßillen hat; unb befdfliegt folcjjes in feinem #er;en; feint^ungs frau alfo bleiben ;u lajfen; ber tljut wohl. 3S (Snblicb; welker rerbeuratbet; ber tbut wobl ; welcher aber nicht Derbeurafljet ber tbut befer. 39 ©in Sö?-eib ;fl gebunben an baS ©efe$; fo lange ibrOTann lebet; fo aber iljr URann entfcblaft; ifi fie freu fhh uerbeuralben; welkem jle will; allein, bag es in bem £>crm gefcbelje. 40 0eliger ijl fie aber; wo jTc alfo bleibet; nach meiner fOleunung. ball« aber; ich j)abe auch ben ©eiji ©altes. £)as 8 Kapitel. QAon bem ©ö^enopfer aber wiffen wir, benn wir ׳x) haben alle bas iKMjfen. S!aS Söiffen blafit auf; aber bie Siebe beffert. 2 0o aber fiel) jemanb bunten lagt; er wiffe etwas; ber weift nodj nicbD; wie er mitten feil. 3 0o aber jemanb ©ott liebt, berfelbtge ijl uon ihm erfannf. 4 0o wiffen wir nun non ber 0peife bes©öfjen־ opferS; bag ein ©ö$e nichts in ber SBelt fep; unb bag fein anberer ©ott fep; ohne ber ©tntge. 5 Unb wiewohl eS jlnb; bie ©etter genannt werben; eS fep im Fimmel ober auf ©rben ; flnlemal es jinb tuele ©etter unb viele Herren; 6 0o haben wir bod) nur ©inen ©ott; ben S?ater; uon welchem alle SMnge finb; unb wir in ihm ; unb ©inen £>errn; Sefum is&rifl; burej) welchen alle :Dinge |Tnb; unb wir bureb ihn. 7 ©Sljat aber nicht jebermann baS SOiffen. Denn etlidje machen ihnen nod) ein ©ereiffen über bem ©öjjen; unb effen e־S für ©e^enopfer; bannt wirb ibr©ewiffen; weil es fo fdjmad) ijl; bejledet. 8 2lber bie 0peife förbert und nicht uor ©ott. Offen wir; fo werben wir barum nicht beffer feun; effen wir nicht; fo werben wir barum nichts weniger feun. 9 0eljet aber ;u; bag biefe eure ft-reubeit nicht geratfe ;u einem 2tn|log ber 0cbwacbcn. 10 Denn fo bidj; ber bu bas Orfenntnig bag; je־ manb fabe ju Sifdje ft£en im ©ö$en&aufe; wirb nicht fein ©ewiffen; bieweil eS fdjwad; ijl; oerur•-fachet; bas ©öljenopfer ju effen ? 11 Unb wirb alfo über beiner (Srfenntnig ber fchwache 83ruber umfommen;um welches willen bog) £(jri|lus gejlorben ijl. 12 5ßenn ihr aber alfo fiinbiget an ben83rübern; unb fdjlaget ihr fhwaheS ©ewiffen; fo fiinbiget ihr an Sfbrigö. 13 ibarum; fo bie 0pcife meinen 93ruber ärgert; wollte ich nimmermehr ft-le.fcb effen; auf bag ich ¡meinen 93ruber nicht ärgerte. 120 ber SRann bas SBeib nicht uon jTcjj laffe. 12 Den anbern aber füge ich; niefct ber perr: 0o ein 93ruber ein ungläubiges Aöeib bat; unb biefeU bige lagt es ihr gefallen; bep ihm ¿u woljnen; bet fheibe fleh nicht Pon ihr. 13 Unb fo ein 9öeib einen ungläubigen URann bat; unb er lagt es ihm gefallen; bep ihr ju wohnen; bie fcheibe geh nicht uon tbm. 14 Denn ber ungläubige SRann tg gebeiliget burchS ■ffißeib, unb baS ungläubige 9ßeib wirb gebeiliget bureb ben üRann. 0onng waren eure ftinber unrein ; nun aber finb |Te heilig. 15 0o aber ber Ungläubige fleh fheibet; fo lag ihn geh fcheiben. @S ijl ber 93ruber ober bie0chwe־ ger ni^t gefangen in folchen gälten. 3«! grieben aber bat uns ©ett berufen. 16 äöasweigtbu aber; buSBeib; obbu benSHann werteg felig mähen? Ober bu Süiann; was weigt bu; ob bu baS ULeib werbeg felig mähen ? 17 S)oh wie einem jegtihen ©ott bat ausgetbeüet; ein jegliher; wie ihn ber £)err berufen bat; alfo wanble er. Unb alfo fhajfe ih eS in allen ©emeinen. 18 3g jemanb befhnitten berufen; ber jeuge feine iflorbaut. 3g jemanb berufen in ber Vorhaut; ber laffe flh nicht befhneiben. 19 ¿de 93efhneibuug ig nidjtS; unb bie iflorbaut ig nicht«: fonbern ©ottes ©ebot halten. 20 ©in jegliher bleibe in bem 93eruf; barinnen er berufen ijl. 21 93ig bu ein Sneht berufen; forge bir niht; boh; fannjlbu frep werben; fo brauche beguiel lieber. 22 ■Denn wer ein^neht berufen ifi in bem£)errn;ber ig ein ©efrepterbes perrn ; bejTelbigeu glethen;wer ein greper berufen ig; ber ijl ein ftneht 4Tf>rifli. 23 3br f«Pb tbeuer erlauft; werbet niht ber 27ien-fhen Änehte. 24 ©in jegliher; lieben 9?rüber; worinnen er berufen ig; barinnen bieibe er bep ©ott. 25 93on ben 3nngfrauen aber habe ih lein ©ebot bes perrn ; id) fage aber meine iUlepnung; als ber ih 93armberjigteit erlanget habe uon bem perrn; treu ju fepn. 26 0o mepne ih nun; folheS fep gut; um ber gegenwärtigen 9lotb willen; bag es bem SRenfhcn gut fep; alfo ja fepn. 27 93i|l bu an etn 933etb gebunben; fo fuhe niht los ju werben; bi|l bu aber loS uom Sßeibe; fo fuh« fein Söeib. 23 0o bu aber frepefl; f mbtgefi bu niht; unb fo eine 3u״gfrau freoet; fiinbiget j!e niht; bod; werben folhe leiblihe iDrübfal haben. 3h oerfhonete aber eurer gerne. 29 £>aS fage ih aber; lieben trüber; bie »eit iß iurp 9öeiter ijl baS bie SRepnung: S)ie ba 92ei* ber haben; bag jle fepen, als batten ge leine; unb bie ba weinen; als weineten ge niht; 30 Unb bie gd) freuen; als freueten ge gh niht; unb bie ba laufen; als befajfen jle es nicht; 31 Unb bie biefer 92ett brauhen; bag jle berfel־ bigen niht mifbrauhen: benn baS Sßefen biefer Söelt cergetjet. 32 3h wollte aber, bag ihr ohne 0orgen wäret. 5ßer lebig ig; ber forget; was bem perrn angebc* ret; wie er bem perrn gefalle. 33 2öer aber frepet; ber forget; waS ber ißelt an־ gehöret; wie er bem Ußeibe gefalle. ©S ig ein Un-terfhieb jwifhen einem jö?eibe unb einer 3ung-frau. VERSIO HISPANICA• VERSIO ITALIANA. SAN PABLO, I. A LOS CORINTIOS, ,Vili. I. A’ CORINTI, Vili. en las cosas del Señor, para ser santa de cuerpo, y de alma. Mas la que es casada, piensa en las cosas que son del mundo, y cómo agradar al marido. 35 En verdad esto digo para provecho vuestro: no para echaros lazo, sino solamente para lo que es honesto, y que os dé facultad de orar al Señor sin estorbo. 36 Mas si á alguno le parece que no le es honesto á su virgen, si se le pasa la edad de casarse, y que así es necesario que se cumpla: haga lo que quisiere: no peca, si se casa. 37 Porque el que tomó en sí una firme resolución, no obligándole necesidad, sino antes teniendo potestad de su propia voluntad, y determinó en su corazón guardar su virgen, bien hace. 38 Y así el que casa á su virgen, hace bien: y el que no la casa, hace mejor. 39 La muger está atada á la ley, mientras vive su marido ; pero si muriese su marido, queda libre: cásese con quien quiera: con tal que sea en el Señor. 40 Pero será mas bienaventurada, si permaneciere así, según mi consejo : y pienso que yo también tengo Espíritu de Dios. CAP. VIH. Y QUANTO á las cosas que son sacrificadas á los ídolos, sabemos que todos tenemos ciencia. La ciencia hincha, mas la caridad edifica. 2 Y si alguno cree saber algo, aun no ha conocido de qué manera le convenga saber. 3 Si alguno ama á Dios, éste es conocido de él. 4 Y quanto á las viandas, que son sacrifL cadas á los ídolos, sabemos que el ídolo es nada en el mundo, y que no hay otro Dios, sino solo uuo. 5 Porque aunque haya algunos, que se llamen dioses, ya en el cielo, ya en la tierra (pues hay muchos dioses, y muchos señores) : 6 Mas para nosotros es solo un Dios, el Padre, de quien son todas las cosas, y nosotros en él; y solo un Señor Jesu-Christo, por quien son todas las cosas, y nosotros por él. 7 Mas no en todos hay conocimiento. Porque algunos hasta ahora con conciencia del ídolo, comen como sacrificado á ídolo : y la conciencia de estos, como enferma, es contaminada. 8 Y la vianda no nos hace agradables á Dios: Porque ni comiéndola, serénaos mas ricos; ni seremos mas pobres, no comiéndola. 9 Mas mirad, que esta libertad que teneis, no sea ocasión de tropiezo á los flacos. 10 Porque si alguno viere al que tiene ciencia, estar sentado á la mesa en el lugar de los ídolos; ¿ por ventura con su conciencia enferma, no se alentará á comer de lo sacrificado á los ídolos? 11 ; Y por tu ciencia perecerá el hermano enfermo, por el qual murió Christo ? 12 Y de este modo pecando contra los hermanos, y llagando su débil conciencia, pecáis contra Christo. 13 Por lo qual, si la vianda sirve de escándalo á mi hermano: nunca jamás comeré carne, por no escandalizar á mi hermano. 8 10 Mas á aquellos, que están unidos^ en matrimonio, mando no yo, sino el Señor, que la muger no se separe del marido : 11 Y si se separare, que se quede sin casar, ó que haga paz con su marido. Y el marido tampoco dexe á su muger. 12 Pero á los demas, digo yo, no el Señor. Si algún hermano tiene muger infiel, y ella consiente morar con él, no la dexe. 13 Y si una muger fiel tiene marido infiel, y él consiente morar con ella, no dexe aí marido: 14 Porque el marido infiel es santificado por la muger fiel; y santificada es la muger infiel por el marido fiel: porque sinó vuestros hijos no serían limpios, mas ahora son santos. 15 Y si el infiel se separare, sepárese: porgue el hermano, ó la hermana no está sujeto a servidumbre en tales cosas: mas Dios nos ha llamado en paz. 16 Porque } dónde sabes tú, muger, si salvarás al marido ? ’ è alcun altro Dio, se non uno. 5 Perciochè, benché venesienoed in cielo, ed in terra, di quelli che son nominati dii : (secondo che vi son molti dii, e molti signori :) 6 Nondimeno, quant’ è a noi, abbiamo un solo Iddio il Padre, dal quale son tutte le cose, e noi in lui : ed un sol Signor Gesù Cristo, per lo quale son tutte le cose, e noi per lui. 7 Ma la conoscenza non è in tutti : anzi alcuni mangiano Quelle cose infino ad ora, con coscienza dell’ idolo, come cosa sacrificata all’ idolo: e la lorcoscienza, essendo debole, è contaminata. 8 Or il mangiare non ci commenda a Dio: perciochè avvegnaché noi mangiamo, non abbiarn però nulla di più : ed avvegnaché non mangiamo, non abbiarn però nulla di meno. 9 Ma, guardate che talora questa vostra podestà non divenga intoppo a’ deboli. 10 Perciochè, se alcuno vede te, c’ hai conoscenza, essere a tavola nel tempio degl’ i-doli, non sarà la coscienza d’ esso, che è debole, edificata a mangiar delle cose sacrificate agl’ idoli ? 11 E così, per la tua conoscenza, perirà il fratello debole, per cui Cristo è morto. 12 Or, peccando così conti־’ a’ fratelli, e ferendo la lor coscienza debole, voi peccate conti־’ a Cristo. 1 10 Ma a’ maritati ordino, non io, ma il Signore, che la moglie non si separi dal marito. 11 E, se pure ella si separa, rimanga senza maritarsi, o si riconcilii col marito, il marito altresì non lasci la moglie. 12 Ma agli altri dico io, non il Signore, Se alcun fratello ha moglie infedele, ed ella consente d’ abitar con lui, non lascila. 13 Parimente ancora la donna c’ ha un marito infedele, se egli consente d’ abitar con lei, non lascilo. 14 Perciochè il marito infedele è santificato nella moglie, e la moglie infedele è santificata nel marito : altrimenti, i vostri figliuoli sarebbero immondi : ma ora son santi. 15 Che se 1’ infedele si separa, separisi : iu tal caso il fratello, o la sorella, non son sottoposti a servitù : ma Iddio ci ha chiamati a pace. 16 Perciochè, che sai tu, moglie, se tu salverai il marito ? ovvero tu, marito, che sai se tu salverai la moglie ? 17 Se non, secondo che Iddio ha distribuito ciascuno, secondo che /1 Signore ha chiamato ciascuno, così camini : e così ordino in tutte le Chiese. 18 Alcuno è egli stato chiamato, essendo circonciso ? non rattragasi il prepuzio : alcuno è egli stato chiamato, essendo nel prepuzio ? non circoncidasi. 19 La Circoncisione è nulla, e ’1 prepuzio è nulla; ma 7 tutto è 1’ osservanza de’ comandamenti di Dio. 20 Ciascuno rimanga nella vocazione,nella quale è stato chiamato. 21 Sei tu stato chiamato, essendo servo ? non curartene : ma se pur puoi divenir libero, usa più tosto quella commodità. 22 Perciochè colui eh’ è chiamato nel Signore, essendo servo, è servo francato del Signore : parimente ancora colui eh’ è chiamato, essendo libero, è servo di Cristo. 23 Voi siete stati comperati con prezzo, non divenite servi degli uomini. 24 Fratelli, ognun rimanga appo Iddio nella condizione, nella quale egli è stato chiamato. 25 Or intorno alle vergini, io non ne ho comandamento dal Signore : ma ne do avviso, come avendo ottenuto misericordia dal Signore d’ esser fedele. 26 lo stimo adunque ciò esser bene per la soprastante necessità : perciochè egli e bene per 1’ uomo di starsene così. 27 Sei tu legato a moglie ? non cercar d’essere sciolto : sei tu sciolto da moglie t non cercar moglie. 28 Che se pure ancora prendi moglie, tu non pecchi : e, se la vergine si marita, non pecca: ma tali persone avranno tribolazione nella carne : or io vi risparmio. 29 Ma questo dico, fratelli, che ’1 tempo è ornai abbreviato : acciochè, e coloro c’ hanno moglie sieno come se non l’ avessero ; 30 E coloro che piangono, come se non piagnessero ; e coloro che si rallegrano, come se non si rallegrassero ; e coloro che comperano, come se non dovesser possedere : ■ 31 E coloro eh’ usano questo mondo, come non abusandolo: perciochè la figura di questo mondo passa. _32 Or io disidero che voi siate senza sollecitudine. Chi non è maritato ha cura delle cose del Signore, come egli sia per piacere ai Signore. 120